REYNAL Georges

par Gérard Bonet
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REYNAL Georges, Charles, Jean, né le 28 juin 1901 à Asnières (Seine), mort le 1er juillet 1985 à Fréjus (Var).

Transporteur, créateur et chef du Service central photographique du gouvernement de Vichy (1941-1944), résistant, membre de l’ORA, lieutenant chef de section FFI dans l’Allier (1943-1944), déporté à Buchenwald, Dora-Nordhausen et Günzerode (1944-1945), créateur et chef du service de presse de la présidence de la République (1947-1959), administrateur civil (1947-1962), maire de Saint-Raphaël (1965-1971).

 Georges est le fils de Jules Reynal (Millas, Pyrénées-Orientales, 3 décembre 1870 – Grenoble, Isère,1939), sous-lieutenant au 14e bataillon de Chasseurs à pieds de Grenoble (Isère) et de Marie, Louise, Emilie Ventre (Carcès, Var, 16 novembre 1881-?), sans profession. Il est l’aîné de trois enfants.

Du côté paternel Georges Reynal est issu d’une famille de cafetiers de Millas, profession exercée par Jules, son père, avant son engagement volontaire le 6 mars 1889 à Perpignan (Pyrénées-Orientales), et son grand-père Laurent (Millas, 1823). Ses ascendants maternels, Joseph, Charles, Victor Ventre et Denise, Pauline, Marie Ventre née Ollivier sont originaires du Var et installés comme hôteliers à Briançon (Haute-Alpes). Le 30 janvier 1901, lors du mariage de leur fille avec Jules Reynal, ils y dirigent l’hôtel Terminus. Jules Reynal, chevalier de la Légion d’honneur le 3 octobre 1914 au titre du ministère de la Guerre, est admis à la retraite le 3 décembre 1926 avec le grade de chef de bataillon.

Enfant, Georges fréquente au gré des affectations de son père l’école Masséna à Nice (Alpes-Maritimes), l’Institution Lamartine à Belley (Ain) et le lycée de Chambéry (Savoie). Il obtient le baccalauréat en 1916. Le 1er avril 1918, il intègre le 13e bataillon de chasseurs à pieds au Quartier Joppet de Chambéry pour y faire ses classes. Avec l’autorisation de son père, qui vient d’être grièvement blessé au Chemin des Dames, il signe son engagement volontaire le 28 juin, le jour de ses dix-sept ans. Il est ainsi l’un des plus jeunes engagés volontaires de la Première Guerre mondiale avant d’être, l’année suivante, le plus jeune sergent de l’armée française. Il est envoyé au front puis affecté à la Commission d’Armistice de Wiesbaden. Croix de guerre 14-18 avec deux palmes, il est démobilisé le 28 juin 1920, le jour de ses dix-neuf ans, avec le grade de sergent du 11e bataillon de Chasseurs à pied d’Annecy (Haute-Savoie).

Après la guerre, alors que son père est aide de camp du maréchal Lyautey, au Maroc, Georges, sans véritable formation, cherche sa voie. Sorti indemne mais meurtri de la Grande Guerre, il ne souhaite pas embrasser la carrière des armes. En 1920, il part tenter l’aventure au Canada où il travaille comme bûcheron dans l’industrie forestière, puis dans une usine de de pâte à papier à Chicoutimi (Québec). De retour en France, en 1922, il exerce divers métiers avant de rencontrer le duc de Noailles dont il devient le secrétaire particulier. Ce poste, éphémère, lui permet de fréquenter les milieux de la droite nationaliste, en particulier les Jeunesses patriotes créées par le député bonapartiste Pierre Taittinger. D’un tempérament indépendant, il se tient cependant à l’écart.

Introduit par le duc de Noailles dans l’univers cosmopolite des courses, il devient le secrétaire de l’écurie anglaise Cunnington, à La Morlaye, près de Chantilly (Oise). C’est ainsi qu’il fréquente les milieux de la presse et de la mode où il rencontre Augustine, Marie Boquet (Lyon 2e, Rhône, 11 février 1897 –  ?), mannequin de la maison Balenciaga. Il l’épouse le 4 avril 1933 à Paris (18e), en présence de Marguerite et Jacques Cunnington. Il a alors trente-deux ans et se trouve sans métier. Le couple s’installe à Paris où Georges ouvre en octobre 1933, avec deux associés, dont le duc de Noailles, une entreprise (SARL) de camionnage au 2 rue de l’Armorique (15°) sous la raison sociale : Paris-Languedoc-Roussillon. En décembre 1937, il cède ses parts à l’un de ses associés et crée un commerce de vente et achat de laine à son domicile. Mobilisé en septembre 1939, sa femme prend en charge le commerce en question.

Affecté comme sergent de réserve au dépôt 147 à Chambéry, la défaite de l’armée française atteint profondément l’ancien combattant de la Grande Guerre. Au mois d’octobre 1940, cantonné militaire à Millas, il vit au plus près les inondations exceptionnelles qui ravagent les Pyrénées-Orientales. Il participe à la direction des secours dans le cadre du service de démobilisation. Se refusant à déposer les armes devant « les Boches », l’Armistice n’étant pas la paix, il aurait organisé des passages clandestins en Espagne et fourni des renseignements divers aux Anglais, nous dit l’historienne Françoise Denoyelle. Ayant cédé son entreprise de transport routier, il rejoint Vichy où il offre ses services au vainqueur de Verdun en qui il fonde tous ses espoirs pour relever la France. Avec le numéro soixante, il est l’un des premiers récipiendaires de l’Ordre de la Francisque qui en comptera 2620.

Le 14 décembre 1940, Georges Reynal est affecté au ministère de l’Information à Vichy où il occupe le poste de censeur principal chargé de la photographie. Sans connaissances particulières sur le sujet, il se prend d’intérêt pour le sujet. Tant et si bien qu’il suggère la création d’un service photographique digne de ce nom. Son projet est ignoré, du moins tant que Laval, qu’il n’aime pas, dirige le gouvernement.

C’est par un arrêté du 21 juillet 1941, l’amiral Darlan désormais aux affaires, que le Service central photographique (SCP) voit le jour. Il a pour mission « d’orienter, de coordonner et de contrôler la production et la diffusion de la photographie de presse et d’édition ». Également service technique, il exécute des travaux de propagande à la demande des ministères de l’Information et des Affaires étrangères et en assure la diffusion. Il doit organiser également la corporation des photographes et gérer les fournitures dont ils ont besoin. Enfin, le SCP est chargé des négociations avec l’administration allemande sur les conditions de réalisation et d’exploitation de la photo d’actualité. Rouage important de l’action sur la presse (lors de ses six premiers mois d’activité en 1941, 41 714 documents sont expédiés à la presse), le service est directement rattaché au secrétariat d’État à l’Information et à la Propagande et suscite l’intérêt de Pétain.

Au nombre des onze super censeurs des services de l’Information Georges Reynal, en considération de son intérêt pour la photographie, est placé à la direction du SCP avec l’appui du docteur Ménétrel, le médecin personnel de Pétain féru de photographie, et du cabinet civil du maréchal. Signe qui ne trompe pas, les locaux du SCP ne sont pas installés hôtel de la Paix, siège du ministère de l’Information et de la Propagande, mais au rez-de-chaussée de l’hôtel du Parc, le siège du gouvernement, dans plusieurs magasins désaffectés dont les sous-sols sont transformés en laboratoire photographique.

Georges Reynal « a joué un rôle de premier plan dans l’élaboration de la propagande de Vichy et, plus particulièrement, dans la mise en place et l’entretien du culte de Pétain », écrit Françoise Denoyelle qui, dans une ébauche de biographie, dresse un portrait contrasté du personnage. Cependant, ajoute-elle, « Georges Reynal, l’artisan du dispositif, est resté dans l’ombre et son action est à peine évoquée par les historiens ».

Dans un premier temps, malgré un manque de moyens et un intérêt mitigé des ministères que viennent pallier son énergie et son sens de l’organisation, Reynal se pose en défenseur et organisateur de la profession. Dans un second temps, explique Françoise Denoyelle, son autoritarisme et sa volonté d’hégémonie alliés à un pétainisme exacerbé lui mettent à dos la profession et débouchent sur de multiples conflits. « Les professionnels et Laval écartent du dispositif celui qu’ils considèrent comme un technocrate trop dirigiste. La mise à l’écart, assez formelle de Ménétrel, est concomitante avec l’arrestation de Reynal », écrit-elle.

En effet, parallèlement à ses activités de propagande au sein du gouvernement de Vichy, Georges Reynal rejoint la Résistance en mars 1943. Homme de droite, nationaliste, sous-officier démobilisé de l’armée d’Armistice, il intègre naturellement l’Organisation de Résistance de l’Armée (ORA) créée en janvier 1943, deux mois après l’invasion de la zone dite « libre ». Celle-ci est antigaulliste. D’abord étiquetée vichyste puis proche du général Giraud, commandant en chef à Alger, elle est dirigée en métropole par le général Frère. Reynal, alias « Leroy », est rattaché au groupe « Roussel », pseudonyme du colonel Colliou, responsables de la division d’Auvergne. Au sein du SCP, Reynal organise avec quelques personnes, collaborateurs ou non du service, un centre de renseignements au profit des Alliés. Il « fournit des informations sur l’identification des troupes allemandes, leurs implantations, leurs mouvements et l’emplacement des terrains d’aviation », rappelle Françoise Denoyelle. Des actions qui lui valent d’être considéré comme un agent de renseignements de premier ordre. Ses plus proches collaborateurs sont arrêtés les uns après les autres, l’un sera fusillé, huit déportés. Le 1er mars 1943, le colonel Colliou nomme Reynal chef de section FFI avec le grade de lieutenant. Il est responsable de trente hommes et des opérations clandestines dans l’Allier.

Dans la nuit du 3 au 4 février 1944, alors qu’il roule avec deux autres membres de l’ORA vers la Haute-Savoie pour y recueillir des informations sur une attaque imminente des Allemands sur le plateau des Glières, l’automobile dans laquelle il a pris place est arrêtée au niveau du village de Lapalisse (Allier). Les trois occupants du véhicule sont emprisonnés à la Mal-Coiffée, prison militaire allemande de Moulins (Allier). Mis au secret durant soixante-treize jours, dont cinquante-six dans le cachot des condamnés à mort, « soumis pendant neuf jours, à raison de huit heures par séance, à de violents et nombreux interrogatoires, Reynal ne parlera pas », écrit Françoise Denoyelle. Il est révoqué dès son arrestation et transféré le 1er mai au camp de Royallieu, à Compiègne (Oise). Le 12 mai, il est au nombre des 2073 hommes qui, par le convoi n° 1211, partent à Buchenwald (Allemagne) où il arrive le 14. Matricule n° 50 961 KLB, après la quarantaine il est affecté, le 6 juin, au kommando de Dora-Nordhausen à Herzberg (nord de l’Allemagne) où il participe à des travaux de terrassement puis, le 17 janvier 1945, au kommando de Günzerode, à quelque huit kilomètres de Dora. Là, il travaille à la construction d’une ligne de chemin de fer stratégique, reliant Dora à Kassel, destinée au transport des fusées V2. Il est un des sept survivants du terrible kommando. « Libéré par les troupes américaines, le 16 avril 1945, il rentre en France trois semaines plus tard, le 7 mai, très éprouvé, ne pesant plus que 27 kg », nous dit Françoise Denoyelle. Dominique Bona livre une autre version : « Malade, épuisé, mais vivant, il fait partie de la cohorte des plus faibles, évacués par le train quand les Allemands décident de fermer le camp et de fuir avec leurs prisonniers, lors d’une marche forcée en direction du nord-est. Après Osterode, puis Mieste, l’arrêt à Gardelegen lui fournit l’occasion de s’évader avec un camarade, René Jançon. (…) Reynal et son camarade ont trouvé refuge dans une ferme, chez des civils allemands, qui les hébergent et les nourrissent pendant deux semaines. [Il est] libéré fin avril, puis rapatrié à Paris en avion via Bruxelles, le 4 mai 1945, telle est l’odyssée de l’homme (…) ».

Avant son interpellation en février 1944, Georges Reynal avait été déjà arrêté le 10 novembre 1942 affirme sa biographe. Il se rendait à Paris à la rencontre d’un certain Henke de la Propaganda Staffel afin de négocier la circulation de photographies entre les deux zones à la suite d’un premier accord intervenu en 1941. Incarcéré à Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire), il était relâché le lendemain, jour de l’entrée des Allemands dans la zone sud, après des excuses de l’officier allemand et une amende de 400 francs. Cette version, nous dit Mme Denoyelle, est contredite par des « éléments de biographie fournis par Reynal lui-même » selon lequel « il est arrêté une première fois, pour faits de résistance, dès l’entrée des troupes allemandes en zone Sud. Interné à Chalon-sur-Saône pendant huit jours, il est relâché faute de preuves formelles ». L’historienne s’interroge dès lors sur les raisons de l’arrestation, sur le règlement insolite d’une amende, sur la libération de Reynal par les Allemands et sur cette affirmation selon laquelle il fut incarcéré huit jours pour faits de résistance. Autant de zones d’ombre qui demeurent.

Georges Reynal ne revient dans la vie active qu’en octobre 1946, après un séjour de près d’un an en Suisse où il était parti se soigner en décembre 1945. « Sa participation très active et productive à la propagande de Pétain n’est pas totalement gommée par sa déportation dans les camps de concentration pour fait de résistance, même s’il est décoré. Anti-gaulliste, éloigné des milieux communistes, le pétainiste doit batailler pour faire valoir ses états de service » relève Françoise Denoyelle. Il est décoré de la Croix de guerre avec deux palmes en juillet 1946, et de la médaille de la Résistance avec rosette, en septembre 1948. Il est promu chevalier de la Légion d’honneur en juillet 1946 en qualité de « chargé de mission de 3e classe pour services exceptionnels de guerre » ; officier de la Légion d’honneur en novembre 1951, sur le rapport du ministre des Anciens combattants, en qualité de « déporté résistant »; commandeur de la Légion d’honneur en juillet 1957, sur le rapport du ministre de la Défense nationale, en « qualité de lieutenant de la Résistance intérieure française ». Il était titulaire de la médaille des déportés.

Grâce à ses activités dans la Résistance et lors de son passage dans les camps, Reynal noue des amitiés avec des hommes issus d’autres horizons politiques que le sien. En janvier 1947, le radical André Marie, garde des Sceaux du gouvernement Ramadier, avec qui lequel il avait été déporté, l’introduit dans les services de la haute fonction publique. Nommé chargé de mission, il crée le 1er avril 1947 le service d’information de la présidence de la République tandis que Vincent Auriol est l’hôte de l’Élysée. Chef de bureau hors classe, à la suite de l’accession de René Coty à la présidence de la République il est nommé, en janvier 1954, chargé de mission, chef du service de presse à la présidence de la République. Il occupe cette fonction jusqu’au départ du président Coty, en janvier 1959. En 1962, administrateur civil de classe exceptionnelle, Reynal est contraint de prendre une retraite anticipée, « aucune affectation ne lui étant proposée à l’Élysée sous la présidence de de Gaulle qu’il ne veut par ailleurs pas servir », souligne Françoise Noyelle.

En 1954, avec l’appui de René Coty, il avait relancé l’Association de la presse présidentielle, en sommeil depuis 1940. Dans ces mêmes années, il est également président de l’Association des anciens prisonniers de guerre, déportés et internés de la présidence du Conseil (service de l’Information) et secrétaire général de l’Association des Amis du président Coty.

Veuf, sans enfant, Georges Reynal vit au 55, rue du Faubourg-Saint-Honoré – c’est-à-dire l’Élysée – avec sa nouvelle compagne, la chanteuse, comédienne et résistante Germaine Sablon (Perreux-sur-Marne, Seine, 19 juillet 1889-Saint-Raphaël, Var, 16 avril 1985). Sœur du chanteur Jean Sablon, nous ne connaissons pas les circonstances de leur rencontre. Lorsqu’ils quittent l’Élysée, en 1959, Georges Reynal et Germaine Sablon choisissent de s’installer dans le Var, terre des ancêtres maternels de Reynal, et terre d’élection de Germaine Sablon. Le couple s’installe villa Maritana, à Camplong, entre Boulouris et Agay, maison qui, en 1940, avait abrité les amours déjà anciennes de la chanteuse et du journaliste et romancier Joseph Kessel.

Résistant et homme de droite, favorable à l’Algérie française, Georges Reynal fréquente les milieux ultra, en particulier l’OAS dont il aurait reçu des membres chez lui, selon le témoignage de son cousin, Jacques Reynal, recueilli par Mme Denoyelle. En mars 1965, il est candidat aux élections municipales à Saint-Raphaël. Chef de file de la liste « Rassemblement dans la concorde pour une rénovation municipale », il déclare dans sa profession de foi parue en mars 1965 dans le quotidien Le Provençal n’appartenir à aucun parti « contrairement aux bruits que certains tentent de répandre ». Il est élu le 27 mars devant René-Georges Laurin, grand résistant également, gaulliste historique (UNR), maire sortant et député de la deuxième circonscription du Var. Il ne se représente pas en 1971 pour des raisons de santé. Parmi ses réalisations les plus marquantes mentionnons la construction d’un programme d’habitation HLM quartiers de Saint-Sébastien et de Dramont, d’une école maternelle quartier de la Lauwe, d’un bureau de poste quartier d’Agay, mais aussi la création du port de plaisance de Boulauris et du musée d’archéologie sous-marine.

Victime début 1985 d’une fracture du col du fémur, très affecté par la mort de Germaine Sablon survenue en avril 1985, il est admis à l’hôpital Bonnet de Fréjus où il meurt le 1er juillet 1985. Incinéré le 5 juillet, ses cendres sont déposées au columbarium du cimetière de l’Aspé Saint-Raphaël.

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Pour citer cet article:

URL: https://publicationsdelolivier.fr/produit/reynal-georges/ notice REYNAL Georges par Gérard Bonet, version mise en ligne le 13 juin, 2024, dernière modification le 4 juillet, 2024.

Georges Reynal, maire de Saint-Raphaël (1965-1971).

Georges Reynal en compagnie d'André Léotard, conseiller général du Var (1961-1967) et maire de Fréjus (1959-1971).

ŒUVRE

SOURCES

– Archives numérisées de Paris, état civil, 18M586 (acte de mariage Reynal-Boquet n° 764)..

– APP. 77W3117/374-459, rapports des 1er août et 7 juin 1946.

– APP; 77W3717/374-459, rapports des 7 juin et 1er août 1946.

– SHD. GR11Yf12436 (Jules Reynal).

– APP. 77W3717-374459.

– Archives communales de Saint Raphaël (Var), délibérations du conseil municipal-mandat de Georges Reynal (1965-1971) ; deux photographies de Georges Reynal, maire de Saint-Raphël.

– AMAURY Philippe, De l’information et de la propagande d’Etat. Les deux premières expériences d’un « ministère de l’Information » en France, Paris, LGDJ, 1969, p. 301, 429, 452-454, 551.

– ARBELLOT Simon, « La presse sous la francisque», L’Echo de la presse et de la publicité, numéro hors série, février-mars 1951, p. 18, 20-21, 43.

– BONA Dominique, Les Partisans. Kessel et Druon, une histoire de famille, Paris, Gallimard, 2023, p. 438-441, 448-450.

– DENOYELLE Françoise, La photographie d’actualité et de propagande sous le régime de Vichy, Paris, CNRS Editions, 2003, p. 81-95 et sq.

– EYCHENNE Emilienne, Les portes de la liberté. Le franchissement clandestin de la frontières espagnole des Pyrénées-Orientales de 1939 à 1945, Toulouse, Privat, 1985.

– JEROME, L’ordre de la Francisque, Revue de la politique française, mai 1974, p. 57.

– Who’s Who in France 1957-1958, p. 1930 et 1973-1974, p.138

– Le Monde du 30 mai 1950.

– Le Provençal de mars 1965 (profession de foi de Georges Reynal).

– Nice-Matin des 18 avril et des 2, 3, 5 juillet 1985.

– Amis de la Fondation pour la mémoire de la déportation de l’Allier, www. afmd-allier.com, site consulté le 6 janvier 2012

www.ilerouge.fr/agay fr.wikipedia.org.

– Filae (site généalogique). Répertoire des dossiers nominatifs de la Légion d’honneur, consulté le 19 janvier 2024.

ICONOGRAPHIE

– Photos collection © Jean-Paul Vieu, Archives communales de Saint-Raphaël. Reproduction interdite.

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